Téléchargement PDF Le GIEC est mort : Vive la science !
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Le GIEC est mort : Vive la science !
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Ne vous inquiétez pas! Maintenant, dans cette époque moderne, vous pouvez obtenir des guides de nombreuses sources. Ne devrait plus probablement dans les magasins de livres et de se promener dans la ville, vous pourrez découvrir la publication. est ici le site internet qui vient avec toutes les publications en cours pour recueillir. Vous pouvez l'obtenir dans les documents doux et utiliser également à lire. Bien sûr, votre onglet et également le système informatique finit par être un excellent outil pour conserver le livre. Le GIEC Est Mort : Vive La Science ! est la recommandation la plus efficace pour vous accompagner dans cette période. Il vous aidera aller avec le temps libre en vacances.
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Détails sur le produit
Broché: 128 pages
Editeur : Texquis; Édition : 1re (31 mai 2010)
Langue : Français
ISBN-10: 2960047370
ISBN-13: 978-2960047370
Dimensions du produit:
23 x 1 x 15 cm
Moyenne des commentaires client :
3.5 étoiles sur 5
19 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
196.651 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Plutôt décevant... En quelques mots: le GIEC est une organisation submergée par le politique, dont les directives sont motivées par une idéologie précédent, et bien plus prégnante, que ses rapports scientifiques, qui ne servent que de faire valoir. La théorie de Godefridi paraît certainement sensée, mais elle est mal illustrée, et le texte légèrement pompeux, aurait pu tenir en 10 pages, étant donné le verbiage et les grandes généralités un peu naïves qu'on y trouve. C'est dommage, car il y avait des thèmes vraiment intéressants à développer, et pour commencer, même si comme il le rappelle, il n'est pas scientifique, les principaux arguments des scientifiques "déviants"; On aurait pu par exemple essayer de comprendre les rapports entre l'image du GIEC et l'inquiétude environnementale maintenant planétaire, sur laquelle surfent les médias; On aurait pu aussi mettre l'accent sur la composante bureaucratique du GIEC, et pas seulement politique (il suffit pas plus loin qu'en France, de mesurer la pléthore de règles établis par le Ministère de L'Ecologie pour avoir un bon exemple); L'ébauche de solution, et les exemples de l'OMC ou autres cours internationales auraient nécessité un développement sur le jeu politique international et le fonctionnement de l'ONU, dont on sait qu'ils s'ajustent aussi en fonction des opinions publiques, qui sont donc aujourd'hui des supports politiques pour l'action, et pas seulement des idéologies (rappelons que la seconde guerre du Golf était soutenue par l'opinion américaine)... etc.
… mais malheureusement le GIEC n'est pas mort, les États s'étant emparés de ce scandale pour culpabiliser les peuples et les conduire là où ils le souhaitent !Incroyable mais vrai : ceux-là mêmes qui nous ont conduits où nous en sommes tentent de nous culpabiliser !!!
Trop ardu, dommage mais très vrai sur le fond. Quand les politiques se mêlent d'avoir le dernier mot pour justifier leurs décisions auprès d''un public ignorant
Pas mal, mais on reste sérieusement sur sa faim, d'autant que nombre de réflexions sont présentes dans des ouvrages plus riches. À chacun de voir, éventuellement ailleurs : J.-M. Bélouve, si l'on a pas peur de se perdre, et surtout H. Arezki.
L'ouvrage est salutaire en ce qu'il combat à mains nues une hydre d'un type nouveau : le GIEC. D'une façon plus générale, il importe de ne pas laisser confisquer la parole citoyenne au motif que seuls des "pros" savent ce qu'il convient de faire et que ces décisions "scientifiques" ne sauraient souffrir de critiques. Jean Bricmont et van Ypersele (tous deux en physique à l'UCL...) utilisent sans vergogne la science pour justifier leurs positions politiques personnelles... tout en reprochant aux autres de le faire! D. Godefridi apporte un regard décomplexé et libéral. Petit reproche comme pour la plupart des auteurs français : une bibliographie squelettique et des notes de bas de pages insuffisantes que pour permettre au lecteur de vérifier par lui-même chaque assertion.
C'est un livre écrit par un philosophe, très clairement. Le style est donc brillant, le vocabulaire précis et l'argumentaire est celui des idées et non pas des chiffres. L'auteur nous livre une analyse passionnante sur ce que devraient être les places respectives de la science et de la politique dans notre société, et sur les dangers du mélange des genres. La science tente d'expliquer ce qui est et ce qui évolue, la politique permet de définir et de mettre en oeuvre le choix de vie (parmi plusieurs options) des citoyens, choix qui ne s'appuie pas nécessairement sur les seules considérations scientifiques. L'homme de science n'a pour rôle que d'augmenter notre savoir tous azimuths, sans considération utilitariste. Le danger est réel cependant que des organisations supranationales à vocation scientifiques (GIEC) ne supplantent insidieusement les gouvernements.C'est tout l'intérêt de ce livre qui complète utilement l'ouvrage de JM Bélouve (La servitude climatique) où on trouvera toutes les statistiques et courbes utiles.
Il est temps de dénoncer l'imposture intellectuelle du GIEC. Une sorte de monstre pseudo-scientifique à but politique. Je vous signale aussi ce livre qui date de 1998 de Pascal Bernardin "l'empire écologique ou la subversion de l'écologie par le mondialisme" aux éditions Notre Dame des Grâces" qui est une référence !
De formation scientifique, je ne donnerai qu'un avis très personnel. Les commentaires très élogieux de la préface et des lecteurs m'ont incité à acheter l'ouvrage, mais celui-ci ne correspond pas à mon attente. Le texte me parait difficile à assimiler et les arguments pas toujours convaincants, alors que dans le fond je rejoins l'auteur.Des livres comme ceux de Claude Alllègre, Benoît Rittaud ou Laurent Cabrol par exemple sont plus faciles (pour moi) tout en apportant un éclairage propre. Quant au titre, le Giec est mort, l'auteur ne me semble pas apporter d'éléments déterminant pour démontrer sa thèse. Je préfèrerais que le Giec devienne plus démocratique et pertinent.
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